Bientôt 20 ans que les compositions du guitariste François Petit se promènent à travers le monde, toujours à la frontière des musiques tziganes et manouches.
C’est désormais un violon et un violoncelle qui remplacent la fameuse « pompe manouche » de la guitare rythmique, avec toujours la « bonne vieille » contrebasse pour porter le tout.